20-12-2024 17:32
Louis DENYBonsoir forumTrouvé à Belfort, 400 m altitude, s
22-12-2024 10:53
Bernard CLESSEPourriez-vous me confirmer ma détermination de ce
22-12-2024 10:19
Simon GurtnerHello,can anyone help me identify this small ascom
17-02-2013 08:38
Alain GARDIENNETBonjour, J'ai trouvé ces acervules sur feuille d
21-12-2024 09:08
Castillo JosebaMe mandan el material seco de Galicia, recolecta
21-12-2024 12:45
Marc DetollenaereDear Forum,On naked wood of Fagus, I found some ha
17-12-2024 12:33
Lothar Krieglsteinerthis fluffy anamorph was repeatedly found on decid
20-12-2024 20:30
Bernard CLESSEBonsoir à toutes et tous,Pourriez-vous m'aider à
Pseudombrophila
Raúl Tena Lahoz,
20-03-2007 18:38
Escribo este mensaje porque tengo dudas acerca de la correcta determinación de esta Pseudombrophila.
Hábitat: semienterrados, apenas sobresaliendo, sobre hojas muertas de Cupressus arizonica, cerca de excrementos de perro. Apotecios entre 1´5 y 3´2 mm, ligeramente estipitados, obcónicos, expandiéndose con la edad hasta ser discoideos. Himenio crema al principio, luego marrón y al final con ligeros tonos rojizos. Frecuentemente con una depresión central. Parte externa tomentosa, más clara debido a los pelos. Margen visible, más oscuro que el himenio. Ligeramente crenulado y elevado sobre el nivel del himenio en ejemplares jóvenes.
Esporas: (11) 11´5-14 (-14´8) x 7-9 (-10) µm. Media: 12´41 x 7´98 µm. N=43. Q=1´56 (1´35-1´93). Elipsoides, con gútulas pequeñas en los extremos apenas apreciables, en la madurez se aprecian algunas esporas bigutuladas. Hialinas, algunas muy ligeramente amarillentas en la madurez. Inicialmente lisas, pero en seguida ornamentadas con líneas que se entrecruzan en todas direcciones formando incluso un pseudoretículo. Se aprecia claramente en el contorno y algunas líneas sobresalen hasta 0´3-0´4 µm (en esporas muy maduras). No se aprecian apículos en los extremos. A veces se aprecia alguna burbuja de Bary. Mediciones hechas sobre esporas maduras (fuera de las ascas, no de esporada) en agua destilada.
Ascas: 170-215 x 12-15 µm. Cilíndricas, operculadas (3-4 µm), muy atenuadas hacia la base. No amiloides.
Paráfisis: x 2-2´5 µm recubiertas en su parte superior por una sustancia ligeramente marrón. Septadas, bifurcadas, no ensanchadas en el ápice.
Excípulo ectal: compuesto por células globosas pigmentadas de marrón, textura angularis hacia el margen donde llega a ser de textura porrecta. Pigmento violáceo entre las células.
Excípulo medular: textura intricada. Células hialinas con pigmento intracelular violáceo ocasional.
Pelos del excípulo ectal entre 3 y 5 µm de anchura, pared x 0´5-0´6 µm. Ligeramente marrones a marrones y envueltos algunos por una sustancia anamorfa marrón, en ocasiones también violeta, septados. Se originan en la parte más externa del excípulo ectal, en células de las que parten varios pelos en todas direcciones (principalmente hacia arriba) que forman un entramado que da consistencia a la pared del apotecio. Cerca del margen se agrupan varios pelos en fascículos de hasta 30-40 µm. También hay pelos más hialinos y de menor anchura cuyo origen es el mismo, pero que no están tan pegados a la pared del apotecio. Más hacia la base se observan otros pelos totalmente hialinos y más estrechos, ramificados, algunos conectados lateralmente. El origen de estos últimos está en las células globosas del excípulo ectal y tienden a alejarse de la superficie externa.
En un principio la determinamos como Pseudombrophila merdaria (y así la subió Enrique Rubio a la base de fichas: http://www.ascofrance.com/index.php?r=bdd&page=fiche&id=1677 ), ya que el tamaño esporal coincide bien. Nos extrañó la marcada ornamentación pero, teniendo en cuenta que van Brummelen indica a la Pseudombrophila deerrata (P. Karst.) Seaver. como sinónimo de Pseudombrophila merdaria y cita el artículo de Calonge & Rodríguez (donde se aprecia una ornamentación semejante a la de nuestra especie: http://www.rjb.csic.es/pdfs/Anales_42(1)_033_037.pdf ) en la bibliografía general de su monografía, supusimos que, a pesar de dibujar van Brummelen las esporas lisas, podría entrar dentro de la variabilidad de la especie. Otros aspectos como el hábitat y morfología podrían encajar.
Las dudas me surgen al encontrar otro tipo de pelos en la parte baja de los apotecios, lo que unido a la ornamentación nos llevaría a una especie de la sección Nannfeldtiella. Podría tratarse a lo mejor de Pseudombrophila albicans, como me indicó Javier Fernández como alternativa al estudiar algunos ejemplares que le mandé. No coincidiría la Q (1´8 frente a 1´56 en nuestros ejemplares), ni el hábitat, que van Brummelen indica sobre el suelo cerca de excrementos de caballo. Tampoco el excípulo medular donde indica textura globulosa frente a textura intricata de nuestros ejemplares.
Me gustaría conocer la opinión de alguien con más experiencia en este género.
Gracias anticipadas por vuestra ayuda.
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Salut à tous.
J'écris ce message parce que j'ai des doutes au sujet de la détermination correcte de cette Pseudombrophila.
Habitat: à demienterrés, à peine émergeant, sur des feuilles mortes de Cupressus arizonica, près des excréments de chien. Apothécies entre 1´5 et 3´2 mms, légèrement stipitées, obconiques, étant dilaté par l'âge jusqu'à être discoides. Hymenium crème au commencement, tout de suite marron et à la fin avec de légers tons rougeâtres. Fréquemment avec une dépression centrale. Une partie externe tomentosa, plus blanche gràce au poils. Une marge visible, plus obscure que l'hymenium. Légèrement crenulée et élevée sur le niveau de l'hymenium dans de jeunes exemplaires.
Spores: (11) 11´5-14 (-14´8) x 7-9 (-10) µm. Moyenne: 12´41 x 7´98 µm. N=43. Q=1´56 (1´35-1´93). Elliptiques avec petites guttules dans les extrémités à peine appréciables, dans la maturité on apprécie quelques spores biguttulées. Hyalines, certaines très légèrement jaunâtres dans la maturité. Initialement lisses, mais tout de suite ornées avec des lignes qui s'entrecroisent dans toutes directions en formant même un fin réseau. Cela est clairement apprécié dans le contour dont quelques lignes atteignent même les 0´3-0´ 4µm (dans les spores très mûres). On n’apprécie pas d’apicules dans les extrémités. Parfois une bulle de Bary est appréciée. Les mesures ont été obtenues sur des spores mûres procédant d’exemplaires vivants (à l’extérieur des asques) dans milieu aqueux.
Asques: 170-215 x 12-15 µm. Cylindriques, operculées (3-4 µm), très atténuées vers la base. Réaction négative à l´iode.
Paraphyses: x 2-2´5 µm recouvertes dans sa partie supérieure par une substance légèrement marron. Septées, fourchues, non élargies dans l'extrémité supérieure.
Excípulum ectal: composé par des cellules globuleuses pigmentées en marron, d'une texture angularis vers la marge où elle devient porrecta. Un pigment violacé entre les cellules.
Excípulum médullaire: une texture intricata. Des cellules hyalines avec pigment intracellulaire violacé occasionnel.
Des poils de l'excípulum ectal larges jusqu´à 3-5 µm, d'une paroi x 0´5-0´6 µm qui vont du marron clair à marron et certains enveloppés d’une substance amorphe marron, parfois aussi violet, septés. Son origine est dans la partie plus externe de l'excípulum ectal, dans des cellules de celles qui partagent quelques poils en toutes directions (principalement vers le haut) qui forment un réseau qui donne une consistance au le paroi de l'apothécie. Près de la marge quelques poils se regroupent dans des fascicules de jusqu'à 30-40 µm. Il y a aussi des poils plus hyalines et plus étroites dont l'origine est le même, mais qui ne sont pas si collés au le paroi de l'apothécie. Plus vers la base d'autres poils totalement hyalines et plus étroites sont observés, ramifiés, aucuns connectés latéralement. L'origine de ci-mentionnés est dans les cellules globuleuses de l'excípulum ectal et ils tendent à s'éloigner de la surface externe.
En principe nous la déterminons comme Pseudombrophila merdaria (et ainsi Enrique Rubio l'a incorporée à la base de données: http://www.ascofrance.com/index.php?r=bdd&page=fiche&id=1677 ), puisque la taille sporale coïncide bien. L'ornementation marquée nous a étonnés mais, en tenant en compte qui van Brummelen indiens à la Pseudombrophila deerrata (P. Karst.) Seaver. comme synonyme de Pseudombrophila merdaria et il cite l'article de Calonge et de Rodríguez (où est appréciée une ornementation semblable à celle de notre espèce: http://www.rjb.csic.es/pdfs/Anales_42(1)_033_037.pdf ) dans la bibliographie générale de sa monographie, nous avons supposé que, bien que van Brummelen a dessiné les spores lisses, il pourrait entrer dans la variabilité de l'espèce.
Les doutes me surgissent après avoir trouvé d'autre type de poils dans la partie inférieure des apothécies ce qui uni à l'ornementation nous mènerait à une espèce de la section Nannfeldtiella. Il pourrait s'agir peut-être de Pseudombrophila albicans, comme m'a indiqué Javier Fernández comme alternative après avoir étudié quelques exemplaires que je lui ai envoyés. Il ne coïnciderait pas le Q (1´8 par 1´56 dans nos exemplaires), ni l'habitat, que van Brummelen indiens sur le sol près des excréments de cheval. Non plus l'excípulum médullaire où il indique une texture globulosa en face de une texture intricata de nos exemplaires.
J'aimerais connaître l'opinion de quelqu'un avec plus d'expérience dans ce genre.
Merci d´avance pour votre aide. J'espère qu'il n'y a pas d'erreurs dans cette traduction.
Raúl Tena Lahoz